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Nordic walking il sabato o il mercoledì (specificato)

Solers, le 22 juin

A Solers, le parcours a été effectué sous une petite bruine. Nous sommes passés sur le pont bossu, au dessus de la rivière l'Yerres, puis sur la passerelle.

Jean Yves Philippe

Voulangis, le 15 juin

Pour cette séance Marche Nordique nous avons choisi d'aller vers la commune de Voulangis (77), pour prendre un peu de hauteur (dénivelés), et nous changer du terrain plat de la forêt de Ferrières. 

Tout le monde a bien passé les 4 grimpettes du parcours. Bravo à tous.

Les animateurs.

Jean Daniel et Jean Yves

Roissy en Brie, le 16 décembre

Le Père Noël et les petits lutins, pour la dernière marche nordique de l'année 2023.

Vin chaud, pain d'épices, cake… pour terminer en beauté.

De très bonnes fêtes à tous.

Jean Yves Philippe

Roissy en brie, le 30 septembre

Grosse affluence ce matin, 24 marcheurs/ses motivés, pour effectuer le tour de Roissy par la piscine le Nautil (11 km ±), et avec le soleil    . Bravo à tous.

Jean-Yves Philippe

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Champcueil, le 8 juillet

La dernière Marche Nordique de la saison, à Champcueil (91). Forêt des grands Avaux, sous une forte chaleur, mais toujours dans la bonne humeur. A suivi, un pique-nique.

Jean-Yves Philippe

Dammartin sur Tigeaux, le 10 juin

Les participants et le moulin de Prémol

Jean-Yves Philippe

Roissy étang du Coq, le 17 décembre

Engagez-vous, engagez-vous qu’ils disaient. Et pour attirer le chaland, les animateurs ont même promis un vin chaud, après la séance de marche nordique. Voici donc les participants alléchés par cette promesse, et prêts à tout pour tremper des lèvres gourmandes dans la potion magique préparée par notre druide vénéré Fernandix Bordix.

Ceci posé, il faut, avant cette récompense, affronter quand même le froid. Et ça pèle, et ça gèle. Même si notre armée de mères et de pères Noël coiffés des chauds bonnets rouges et blancs, sont habitués à parcourir les contrées enneigées sur leurs traîneaux électriques équipés de pompes à chaleur et de chauffe-eau thermodynamiques, l’ambiance est glaciale…. Jusqu’à ce que notre Père Jean Yves Noël en chef, ne se décide à dégeler l’assistance avec des échauffements hystériques et complètement bios, sur une musique entraînante. Les mouvements produisant de l’énergie, voici des bonnets qui s’allument, et font étinceler des diodes facétieuses. Et comme le dit la chanson, tout finit en dansant !!! On nez chaud, alors, en navrant !!!

Nous longeons le Morbras, transperçons la voie ferrée. Quelques buttes plus loin, nous voici dans les bois précédant l’étang du Coq (je résume). Nous perdons dans les taillis quelques marcheurs, euses, pressés, ées de marquer le territoire pour chasser les intrus. Heureusement, les voici peu de temps après jaillissant de la lisière, à pas comptés pour rejoindre le reste du groupe de marcheurs empereurs, serrés les uns contre les autres, pour se tenir chaud, à côté de la banquise de l’étang. Car la surface est gelée, et pas qu’un peu. A tel point qu’il est question d’y lâcher des ours blancs pour rééquilibrer l’écosystème de cet environnement perturbé par la présence de l’homme. En effet, des études récentes très sérieuses notent d’importantes colonies de randonneurs pléthoriques à réguler.

Nous profitons de l’absence provisoire de ces carnassiers pour prendre tranquillement la traditionnelle photo de groupe. Tout le monde a réussi à rentrer dans l’objectif. Peut-être pour s’y tenir au chaud ?

Nous repartons vers la piscine du Nautil, négligeant l’aire de pique-nique pourtant si accueillante. Le chemin qui longe ensuite la route devrait être boueux. Pas de chance pour la gadoue collante qui enchante nos lavabos au retour des sorties. Tout est gelé. Merci père Noël. Comme dit le proverbe : « quand la Brie est gelée, les godasses sont sauvées ».

Continuons en rentrant dans le bois. S’ensuit une longue ligne droite d’abord par une belle allée qui, petit à petit, se rétrécit en un sentier herbeux et sinuant. Nous entendons des détonations de fusils de chasse. Probablement un lâcher de randonneurs. Constatant que nous sommes les seuls dans cette forêt, il s’agit sans doute de nous. Horreur !! Alors, courage fuyons !

Arrivés à la route d’Ozoir hors d’haleine, nous constatons les premières défections. Christine fatiguée par notre fuite éperdue, et attirée par l’odeur du café, part se réfugier chez Xavier et Isabelle.

Les survivants continuent gaillardement en direction de Roissy. Arrivés au passage à niveau (je résume encore), c’est la débandade. Le groupe s’étire mais pas comme on aurait pu le penser ! Les plus gourmands filent directement chez Fernand. D’autres vont dans une direction inconnue du grand public. D’autres encore partent récupérer leurs voitures au stade. Quel bazar !! Pourvu que nous nous retrouvions tous chez Fernand.

Et c’est en père Noël qu’il nous accueille chaleureusement à côté d’une machine infernale. Elle fournit un délicieux vin chaud, à la composition ultra secrète. Au premier verre, nous voici tout ragaillardis. Une vraie potion magique. Nous dégustons les pâtisseries et autres douceurs amenées par les uns et les autres. Profitons de ce moment festif et amical fort bien venu, après avoir affronté les frimas. La source de vin chaud pilotée par un Fernand imperturbable débite en permanence, et semble intarissable. Les gosiers s’esbaudissent, les joues se rosissent et les toilettes se remplissent. Bref, c’est la fête. Un grand merci à Françoise et Fernand pour leur accueil. Nous clôturons ainsi de belle manière, la fin de notre année nordiquement marcheuse. Rendez-vous est pris pour l’année prochaine, si le foie gras et le champagne nous le permettent, car il reste deux gros obstacles à passer : Noël et le jour de l’an. Comme dirait l’autre : « mens sana in corpore sano et allez y mollo ».

Bises à tous et joyeuses fêtes.

Jean Daniel Gasparini

Bois Saint Martin - Pontault par Denfert-Rochereau, le 10 décembre

J’ai un scoop : il fait froid ce samedi matin ! Malgré tout, nous voici 14 à partir explorer les allées magnifiques du bois Saint Martin récemment ouvert au public, dans la banlieue de Pontault Combault. Nous nous échauffons comme des bêtes. Et… c’est parti.

Avant d’entrer dans le bois, on est prié de se salir les chaussures dans la pataugeoire boueuse en travers du portail métallique.

Des chênes magnifiques nous observent nonchalamment grimper à vive allure la rampe du pont qui enjambe la voie ferrée. Virage serré à gauche avec dérapage contrôlé, reprise de la vitesse dans la ligne droite avec arrêt au stand pour vidange et remplissage du réservoir, le tout en un minimum de temps, puis passage de la baïonnette de la mort, et pointe de vitesse dans la ligne droite des Hunaudières.

Nouvel arrêt au stand. Michèle disparaît loin dans les bois effeuillés en quête d’un petit coin bucolique pour méditer sur la vanité de ce monde cruel. Nous attendons patiemment son retour, et dans un jaillissement de mottes de terre projetées par nos mollets surpuissants, nous reprenons nos cadences infernales jusqu’à la gare des Yvris. D’un commun accord, et pour limiter la production de CO2, nous n’irons pas à Denfert Rochereau, et donc, continuons en sautant allègrement la voie ferrée jusqu’au bois de Célie.

Un sentier mangé par les troncs abattus et des lianes envahissantes, nous y mène dans une lumière sombre, et quasi crépusculaire !! Un petit pont au-dessus du Merderet (mais oui c’est un ruisseau), une grande allée plus tard, et nous faisons halte au bord de l’étang dont je n’ai pas le nom, et que j’ai la flemme de chercher. Une photo nous regroupe pour fixer cet instant, dont on reparlera dans des siècles, et nous revenons au point de départ (c’est malin !!), par sentiers et larges allées.

Au total 10,346 km à 5,8 km/h chronométrés par Rolex, la marque des champions.

Bon, on s’étire, et on se tire, et vite, car il fait bien froid.

Cette fois-ci, nous n’avons pas encore réussi à semer notre nouvelle marcheuse Marie Agnès. Incroyable comme elle s’accroche ! Souhaitons-lui la bienvenue, mais nous réessaierons la prochaine fois !

Bravo à toutes et à tous pour cette belle balade. Vite à samedi prochain, surtout pour le vin chaud qui nous attend après !!

Jean Daniel Gasparini

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Roissy-en-Brie/Pontcarré, le 15 octobre

Les 12 marcheurs « Nordique » du jour. Petite bruine au départ, mais petit soleil au retour (11 km).

L'automne déploie ses couleurs, l'arbre est un chêne des marais..
Nordiquement.
Jean-Yves Philippe

Canne, 4 giugno

Come promesso, abbiamo un appuntamento in fondo al calderone dei tigeaux, vicino al municipio. 10 donne coraggiose pronte ad affrontare le piste. Non ha piovuto né acqua né sapone e il pavimento è asciutto e aderente.

Sarà dura per le cosce!!

La temperatura è al massimo, né troppo alta né troppo fredda, giusto. Si sa, è come in cucina, prepariamo i menù a temperatura ambiente, prima di infornare! Abbiamo la scelta, parlando del forno, tra cotture manuali con generoso sole, o cotture potenzialmente elettriche con temporali previsti dal tempo. Ti ho parlato di un gruppo di persone coraggiose. Quindi tamponiamo il coquillard con una tibia di astice, e ignorando questi piccoli inconvenienti, iniziamo una serie di riscaldamenti, proprio per preparare le ossa delle nostre piccole articolazioni come aperitivo gestuale.

Questa uscita sarà all'insegna della gastronomia italiana. Ma non ti sto dicendo tutto ora, sii paziente come il diavolo!

Quindi, eccoci qui per un pendio immediato in un piacevole sottobosco fresco e benevolo. Ebbene, sale e scende. Lo scrivo subito e non ci tornerò più.

Attraversare un grande campo di grano (sto attento!) ci porta a un bivio, e Isabelle e Xavier tirano fuori un'arma segreta. Questo è un “pane forte” portato dal loro viaggio in Toscana. Un delizioso lembas regalato dalla fata Galadriel, e che riempie l'appetito solo con una briciola. Autonomia garantita!!! Data l'incredibile quantità di cime da scalare, divoriamo tutto questo delizioso entremet che ci fornirà energia per almeno l'intera settimana! Grazie a Isabelle e Xavier per questa delicata attenzione ripiena di mandorle, tra gli altri. Guarda bene le foto di questo delizioso prodotto perché non ne sono rimaste.

Le foto e i video completeranno questo breve reportage. Da notare una sosta a buffet davanti a magnifici fiori rosa carminio, inizialmente identificati come orchidee. Un errore profondo ci colpisce giustamente Frédérique, che identifica i piselli dolci. Complimenti per la sua intuizione.

Ritorno veloce per la cima del Tigeaux, e scendiamo di nuovo presso il monumento ai caduti il cui gallo rimane muto per lo stupore, vedendoci tornare così in fretta. Agnès ci offre i suoi allungamenti, ed è il grande ritorno all'ovile. Escursione molto bella di 10 km, con 280 m di dislivello. Non vedo l'ora che arrivi sabato prossimo!!!

Jean-Daniel Gasparini

Bois des Vallières, 14 maggio

Il bel tempo si è mantenuto per tutta la settimana, la siccità ci osserva. È ora di andare a provare i pendii di questo bellissimo boschetto, così fangoso in tempi normali. Un bel percorso ricco di dossi sotto un'abbondante copertura vegetale. Che felicità!

Dopo un tonificante riscaldamento per preparare le ginocchia e le altre caviglie, ci incamminiamo e raggiungiamo il bosco dopo aver attraversato un altopiano e campi coltivati.

Appena entrati effettuiamo un piccolo richiamo tecnico sulla doppia spinta, poi una lunga discesa ci porta sul ciglio della Marna, che pigramente rotola le sue onde di un bel verde vegetale.

Attacchiamo la prima salita. Dopo una breve pausa, saliamo una parete abbastanza ripida. Le radici e le pietre ci forniscono un gradito sostegno.

Scendiamo e troviamo la Marna ancora indolente. Rimontiamo la copertura per una seconda salita un po' meno ripida, ma un po' più accidentata per finire allo stesso livello di prima.

Nuova discesa verso la Marna che è stata fornita di una barca molto indiscreta. distilla la musica a squarciagola senza tener conto di questo bellissimo ambiente. Scappiamo da questi bastardi, e affrontiamo l'ultima salita lontano dal fresco del bosco, e sotto le frecce dei raggi di un sole sfrenato, sotto un cielo terso, e attraverso campi striati di germogli di grano appena spuntati.

Riprendiamo una pausa vicino a un hangar e all'ombra dei suoi alberi, poi 2-3 chilometri ci riportano all'inizio dell'ansa presso l'acquedotto Dhuys. Passeggiata molto bella secondo il parere dei partecipanti, che hanno resistito benissimo al mal di mare collegando alti e bassi, e noi ne vogliamo di più!!!

Buona settimana e ci vediamo sabato prossimo.

Jean-Daniel Gasparini

Champcueil, 7 maggio

È a Essonne, a Champcueil il cui nome sa di campagna, che andiamo il 7 maggio.

Arrivati al parcheggio, ai margini del bosco “Grands Avaux”, uno strano edificio intriga: un habitat insolito per un corso di immersione nella natura o una ricerca spirituale?

Pazienza, il mistero sarà risolto alle 13!

La nostra ricerca è prima di tutto sportiva: ingoiare bastoncini alla mano 10 chilometri di costa, piatti finti e veri, e per i più intrepidi misurarsi con il caos roccioso del "Bois du Rocher du Duc", per l'inezia di 5 piccoli chilometri aggiuntivi.

Il superbo bosco dei “Grands Avaux” si snoda sotto i nostri piedi piacevoli e variegati sentieri.

Ci sono prima, al bivio, strane creature scolpite in due querce;

Queste sono colline, che grazie al nostro instancabile allenamento (o pochissimo), e al tempo molto favorevole, attraversiamo allegramente;

Sono anche i nostri tre intrepidi compagni che troviamo casualmente su un sentiero pronti a combattere con le rocce;

Sull'altopiano si trovano tracce dello sfruttamento dell'arenaria del Telegrafo nel XIX secolo.

E come sempre in cima la ricompensa: il “Tour du Buisson”, un ex osservatorio astronomico di cui saliamo i gradini instancabili alpinisti.

Dal terrazzo non ci avevano promesso né la luna né le stelle, ma la Tour Eiffel!!

Ahimè, la faceta Torre Eiffel si è nascosta questo pomeriggio! Un bel panorama e alcune opere d'arte, però, premiano largamente i nostri sforzi.

Scendere colline cosparse di rocce, camminare da altipiani boschivi a pianure coltivate, è sempre un piccolo progresso verso la felicità, ed è così che in pianura, in fondo a un campo di grano, troviamo le “Ferme de Noisement”, chiamate anche "Ferme du Bonheur".

Dopo una tale scoperta, non possiamo che raggiungere il parcheggio del Telegraph felici e senza cadere.

Troviamo lì tre amici particolarmente intelligenti, venuti ad accompagnarci in una ricerca gastronomica in questo strano edificio arroccato che è il ristorante “La Chaumière du Télégraphe”! Come suggerisce il nome, questa struttura, ancora in fase di completamento, è stata creata da due fratelli nel 1967, nei pressi di un ex... telegrafo!

Ora avanti tutte le papille gustative! Insalate di Gers, andouillettes AAAA… poi Dames Blanches, profiteroles… deliziano i nostri palati.

Dopo questo pasto sulla terrazza, dove approfittiamo delle magnifiche querce, dobbiamo deciderci a tornare.

Poi arriva la sequenza della nostalgia! Ex “Yéyé”, pazzi di “Disco”, lettori assidui di “Salut les Copains” e “Podium”, eccoci a Dannemois per salutare la memoria di Cloclo. Il nostro viaggio attraverso il villaggio ci porta serenamente al Moulin, la "Casa della Felicità" di Cloclo, dal 1964, salvata dalla famiglia Lescure, proprietaria dal 1998.

Bella giornata. Grazie a Jean-Yves per questa iniziativa, e complimenti a tutti, per questo momento di convivialità.

Monique Lacoste

Dammartin sur Tigeaux, 23 aprile

È sotto un timido sole che ci troviamo al punto d'incontro non lontano dalla torre dell'acqua di Dammartin sur Tigeaux.

Dopo il riscaldamento della nostra nazionale Agnès, attacchiamo una superba discesa (che dovremo risalire più avanti), che ci porta ad un non meno superbo ponte, che scavalca un superbo Grand Morin dalle acque tumultuose e abbondanti, superbo anche questo . . Sosta per gli esteti per ammirare il paesaggio e cercare il mulino che in passato utilizzava la forza dell'acqua. E risaliamo il versante opposto per sentieri rustici che ci portano a Monthérand in cima alla collina. Attraversiamo il paese e proseguiamo attraverso i campi fino a raggiungere un boschetto. Le cose vanno male, perché la discesa che prendiamo è piuttosto ripida e in alcuni punti rocciosa. Diventa estremamente sottile seguendo una traccia appena segnata, testimonianza del suo uso nel Medioevo! Alcuni tralci pendenti e tronchi abbattuti conferiscono al paesaggio il carattere di una giungla selvaggia e inospitale. Osservatori attenti avranno probabilmente sentito i richiami di Tarzan nel profondo dei boschi!! Ma i nostri valorosi nordic walker non si lasciano impressionare da questi pochi dettagli e, trasformandosi in esploratori, escono vittoriosi da questo guazzabuglio vegetale e si godono la colorata ricompensa dei campi di colza che si estendono sul fondovalle. Direzione Serbonne, che attraversiamo per immetterci sulla strada del piccolo Tourmalet, dove ammiriamo i muscoli dei ciclisti che assalgono questo mitico pendio. Un sentiero tortuoso ci porta attraverso il sottobosco fino a un'osteria, non senza ammirare il lavoro delle macchine agricole che lavorano in una nuvola di polvere. Attraversiamo alcuni pascoli, e salutiamo alcune bonari mucche sulla strada per trovare il nostro ponte e il nostro grande Morin. Agnès, minacciata da un enorme gatto chafouin, e arrivando a tradimento dietro di lei, scatta una foto, rischiando la vita, del nostro gruppo al sicuro sul ponte. Risaliamo il pendio da cui siamo discesi così velocemente stamattina, e riscopriamo con gioia questi inestimabili testimoni di civiltà che sono le nostre automobili, non senza aver scientificamente allungato i nostri muscoli affaticati sotto il dominio di Agnès, che sicuramente sarà stata su tutti i fronti durante questo giro.

Buona settimana a tutti.

Jean Daniel Gasparini

Voulangis, 16 aprile

Per questo sabato 16 aprile, un tempo molto piacevole per il MN, temperatura 14/20° e sole ☀️. Un percorso di 10 km intorno a Voulangis (77), alternato tra sottobosco, prati e salite, dove 12 nordic walking sono venuti ad affinare i polpacci. Per fare di nuovo. Nordico 🙋‍♂️
Jean-Yves Philippe

Foresta di Rougeau, 19 marzo

Oggi siamo invitati da Jean Jacques, responsabile del club Boussy Saint Antoine, a condividere un'uscita di nordic walking nella foresta di Rougeau, non lontano da Carré Sénart. Va bene perché inizieremo condividendo il generoso sole in un cielo sereno. Limita gli effetti pungenti di una leggera burrasca che ci ricorda che siamo ancora in inverno.

Jean Yves prende in mano le cose, sto parlando dei poli, e ci riscalda con alcuni movimenti tonici che favoriscono l'innalzamento della temperatura nelle nostre piccole caldaie corporee. E si parte per 13 km in questa foresta, dove si va molto poco.

Il terreno è "pulito", e si procede in mezzo a magnifiche querce e piccoli sentieri dove i bastoncini sono piantati efficacemente. La colonna fa il bruco tra un gruppo di furiosi in testa e una coda più rispettosa del risparmio energetico.

Arriviamo ad un magnifico belvedere che domina la Senna, in cima ad una cava. Approfittiamo di questa posizione per fare scorta di un'altura così rara nella nostra regione, che sale e scende a tutta velocità, prima che Jean Jacques fissi il gruppo per una foto che immortala questo momento davanti a un paesaggio così bello.

E il bruco riparte, ma l'allungamento è tale che perde la coda! Fortunatamente, grazie alla colla di Google Maps, siamo riusciti a riunire i due pezzi, a scattare una foto completa del gruppo davanti al "guardiano della foresta", una magnifica scultura in resina patinata dal maltempo della foresta.

Torniamo al parcheggio e, dopo lo stretching, Jean Jacques ha preparato una sorpresa per noi. Un vasetto dell'amicizia con un bicchiere di rum al basilico, e un magnifico medaglione in ceramica, originale creazione di un artista del club, che maneggia con virtuosismo sia il bastone da nordic walking che la spatola dello scultore. Lasceremo su questo piacevole ricordo per il ritorno a Roissy. Grazie a Jean Jacques e Jean Yves, per aver organizzato questo incontro molto amichevole.

Jean Daniel Gasparini

Ferrieres, 18 dicembre

Stamattina il cielo è grigio e il freddo umido non incoraggia molti a lasciare il piumone. Nonostante questo, è un esercito di madri e padri che spuntano dalle auto. È moderno e più comodo della tradizionale slitta con le sue renne che distribuiscono metano a tutti i costi. Per motivazione, esitiamo tra la prospettiva di praticare sport nella nostra disciplina preferita, o quella del vin brulé che Fernand è stato così gentile da prepararci. Sceglierei volentieri la seconda opzione!!! I cappucci biancorossi si impossessano delle teste. Disegniamo bastoncini magici leggeri per alcuni. I camici rossi e bianchi coprono parzialmente il verde del club. Non è fino a quando la musica dei canti natalizi ci accompagnerà nel nostro viaggio.

Quindi è freddo e umido. Abbiamo bisogno di un solido riscaldamento prima di intraprendere i sentieri moderatamente fangosi di questa preziosa foresta di Ferrières. Poco dopo la partenza, il gruppo si allunga a poco a poco per chilometri. Davanti il gruppo del vin brulé, in fretta e furia per raggiungere Fernand, che fa volare le zolle di terra battendo furiosamente il suolo con i bastoni. In fondo, il gruppo di saggi che fanno del loro meglio per rallentare questi giovani impetuosi frustini al fronte, pronti a mettere in pericolo la loro salute.

Per l'autostrada del nord, verso Pontcarré, che aggiriamo verso metà mattina. Nel corso dei chilometri, i due gruppi finiscono per raggiungere una sintesi fisarmonicista! Ritorno per la montagna di Ferrières che qualche attacco per la via diretta nella parete nord, nonostante il firn di fango che ricopre la superficie scivolosa. E senza punte. Tanto di cappello agli artisti. Reso senza problemi. Ma con una velocità sospetta, dove i tratti sono completamente dimenticati! C'è del vin brulé nell'aria. In effetti, il gruppo finisce per essere completo da Fernand's. Nel suo seminterrato è spuntata una primavera calda e profumata, e lì stiamo riempiendo le tazze. Si dice che sia una fonte miracolosa che guarisce i dolori e il congelamento. È necessario credere che presentiamo tutti questi sintomi, perché il flusso della fonte non basta a soddisfare i curiosi. Dopo pochi minuti e diverse tazze dopo, è un trambusto amichevole e vivace che ci riunisce. Tanto più che asciughiamo il vin brulé con i dolci di pasticceria che ci siamo gentilmente portati l'un l'altro. Siamo così a nostro agio in questa atmosfera da Fernand's, che ci vorranno due società CRS per rimuoverci e costringerci a tornare a casa. Lasciamo con rammarico questa bellissima atmosfera, promettendoci di ricominciare al più presto.

Grazie a tutti per la vostra partecipazione sportiva e amichevole. Grazie a Fernand, Richard e Yvon per l'accoglienza e la preparazione di questo momento festivo. Ne abbiamo davvero bisogno in questo momento!! Vi auguro con tutto il cuore buone feste natalizie, e non vedo l'ora di vedervi l'anno prossimo, per coloro che per allora non potranno essere presenti.

Jean Daniel Gasparini

Mont Griffon, 11 dicembre

Torcy, 13 novembre

Oggi grande nordic walking con 15 coraggiosi che hanno affrontato la pioggerella, gli acquazzoni di Torcy, sfuggiti al circo FRANCONI, e attraversato due volte la Marna, tutti con un dislivello da "piatto da piatto", ma ancora poco più di 12 km. Congratulazioni a tutti, e grazie per questo apprezzato momento di condivisione, sul campo e sul gruppo WApp "La MN duSaturday".

In allegato la mappa del vostro percorso!!! La verità.

Jean-Daniel Gasparini

Rently, 6 novembre

Sotto una leggera brezza mattutina, 20 nordic walkers  hanno percorso i sentieri del parco Rentilly e hanno attraversato magnifici alberi di più di cento anni. Con l'aiuto del sole, abbiamo anche potuto sfruttare i colori dell'autunno in formazione. Al termine del corso, abbiamo assistito all'installazione di un "Ecurodotto", destinato a facilitare l'attraversamento della strada, per gli scoiattoli.
Una gita molto piacevole.
Sportivamente.

Jean-Yves Philippe

Noisiel, 2 ottobre

Una sessione dinamica per il primo gruppo, accompagnato da una Haka, per impressionare sicuramente i possibili avversari. E una sessione piuttosto di scoperta, per principianti e intermedi, con una visita al centro ricreativo di Vaires sur Marne, sede delle Olimpiadi del 2024 (canottaggio, kayak, ecc.). Una bella gita al sole.

Jean-Yves Philippe

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